Quand les cerveaux deviennent un gabarit, l’absence individuelle s’institutionnalise au niveau d’une nation ; on voit de distance une superstructure qu’on lui donne aveuglement le nom d’une civilisation ; on ignore que l’individu s’est déjà perdu et il ne se trouve que dans la collectivité institutionnelle.
Quand il y a une impasse dans le monde politique, une anomie dans le monde social ; le dernier soupire d’une civilisation ne se reflète que par des armes et des larmes.
Et tous cela pour récupérer l’individualité.
コメント (0)